Quand une responsable des espaces publics d’une grande ville nous partage son angoisse des racines des arbres qui défoncent les trottoirs (le vertige des racines ! avoué ici), on repense à une phrase lue la veille dans Kiruna de Maylis de Kerangal : “Dès lors, ce qu’on anticipait il y a un siècle se précipite, inéluctable : la ville s’effondre, elle est peu à peu engloutie par la mine. Des visions d’apocalypse surgissent – gouffres, brèches, glissements de terrain, maisons… > Lire la suite