Notre étude sur les nouveaux modèles économiques urbains se poursuit, avec une saison 4 sur la sobriété, dont le rapport sortira à la rentrée. En attendant, on reprend ci-dessous le "teasing" que vient d'en faire Nicolas Rio, fondateur de Partie Prenante sur Linkedin :
La #sobriété ne se limite pas aux changements de comportements individuels, elle interroge aussi nos infrastructures collectives, leur financement et leur dimensionnement ! A l'heure où tout le monde parle de planification écologique, les collectivités et l'Etat gagneraient à anticiper les conséquences de la sobriété sur le fonctionnement des services urbains. Que devient l'incinérateur quand les déchets diminuent de moitié ? Comment financer l'entretien d'un réseau d'eau vieillissant quand les consommations diminuent ? Qui supporte la baisse de rentabilité d'un réseau de chaleur suite à la rénovation énergétique du bâti ?
Voilà ce que je retiens de notre étude sur le modèle économique des services urbains au défi de la sobriété, dont le rapport sortira à la rentrée. En voici la table des matières, en guise de #teasing estival
Ce rapport est la quatrième saison des "nouveaux modèles économiques urbains" que l'on explore depuis 2015 avec Isabelle Baraud-Serfaty, Hélène Delhay et Clément Fourchy, grâce au soutien de ADEME, de la Banque des Territoires et du PUCA/POPSU - Plateforme d'observation des projets et stratégies urbaines
Impatient de poursuivre le débat sur le sujet et d'en tirer les conséquences pour l'action publique locale. En attendant, je vous conseille le podcast de Mathieu Saujot / Iddri sur le sujet : https://lnkd.in/envqjEY4.
A signaler également : le dernier numéro de la Revue Flux consacré aux interdépendances : ici.
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