A lire sur le site internet de Libération l'article d'Eve Szeftel consacré à la fin des trottinettes électriques à Paris, qui est aussi l'occasion de revenir sur le Code de la rue adopté en juin dernier par le Conseil Municipal.

Forcément qui dit "trottinettes" dit "trottoirs" !... et "Trottoirs !" :

Extrait :

«Les trottinettes en free-floating ne sont qu’un avatar des nouveaux occupants qui surgissent régulièrement sur le trottoir» : bornes de recharge, terrasses post-Covid, livreurs qui y stationnent leur vélo-cargo, etc. Si le code de la rue «a son utilité», «il est urgent que les collectivités prennent conscience que le trottoir est un espace rare, de plus en plus convoité, avec une forte valeur», estime la consultante en économie urbaine, qui enseigne à l’Ecole urbaine de Sciences-Po. Pour elle, après les trottinettes, la nouvelle «bataille des trottoirs» risque de se jouer sur la végétalisation, entre les «partisans de trottoirs asphaltés pour plus de confort, pour faciliter la circulation des poussettes ou des fauteuils roulants» et ceux qui veulent débitumer cette bande passante en plantant des arbres, pour rafraîchir la ville. A quand une votation sur la pleine terre ?

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