Au détour d'un article sur les "flagships" des Champs-Elysées, à Paris ("Les Champs-Elysées entrent dans une nouvelle ère" - Les Echos - 16 novembre 2018) :

Au rond-point, les travaux de restauration des fontaines ont commencé. Les frères Ronan et Erwan Bouroullec sont à l'oeuvre. Mais Jean-Noël Reinhardt (président du Comité Champs-Elysées) avertit : cela n'est pas suffisant. "La ville doit aussi s'intéresser à l'aménagement des jardins et des trottoirs de l'avenue. En vingt-cinq ans, ces trottoirs ont été foulés par plus d'un milliard de personnes". Le dernier grand réaménagement date de 1993.

Point important :

"Les surfaces situées sur le trottoir de droite lorsque l’on remonte les Champs en direction de la place de l’Etoile (numéros pairs de l’avenue) sont mieux valorisées en terme locatif que les surfaces à l’ombre (numéros impairs). Entre 2005 et 2012, on estimait en moyenne à entre 7000 et 11 000 €/m2 la valeur locative des numéros pairs et à entre 4000 et 8000 € la valeur locative des numéros impairs. Aujourd’hui l’écart tend cependant à se réduire entre les deux rives de cette avenue hors norme". (source : ici)

Rajout de mars 2021 : à lire également : « Shady democracy: shelter from the sun is a public resource »