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La sobriété percute le modèle économique des services urbains. Qu’elle soit subie ou choisie, elle se traduit par une baisse structurelle des quantités consommées par habitant. Cela provoque une diminution des recettes alors que les charges restent fixes, et un risque de surdimensionnement des infrastructures. Le secteur de l’eau potable est sans doute le plus confronté à cette évolution, d’autant qu’elle se cumule avec un besoin inédit de renouvellement des réseaux existants. Mais la problématique est aussi valable pour les réseaux de chaleur, les déchets ménagers, la voirie ou l’aménagement. Comment garantir la soutenabilité économique des services urbains dans un contexte de sobriété ? Pour y répondre, Espelia, ibicity et Partie Prenante organisent deux ateliers interactifs en visio :

- Intégrer l’aléa sobriété dans son contrat de concession : le mardi 1er octobre de 10h à 12h

- Anticiper l’impact de la sobriété dans l’élaboration de sa PPI (Programmation pluri-annuelle d'investissements) : le mardi 15 octobre de 10h à 12h.

Ces ateliers s’adressent à tous les agents de collectivité en charge du pilotage des services urbains (eau, déchets, voirie, énergie, aménagement) qui se retrouvent confrontés à ces questions. Ils visent à mettre en discussion et à approfondir les préconisations issues des études de cas que nous avons menées auprès de collectivités autorités organisatrices et d’opérateurs urbains. Pour s'inscrire, c'est : ici.

Ces ateliers sont organisés dans le cadre de l'exploration au long cours des nouveaux modèles économiques urbains conduite avec le soutien de l'ADEME, la Banque des Territoires, le PUCA. Ils donneront lieux à un rapport publié début 2025. Pour lire le précédent rapport, c'est : ici.

Et aussi :

- rapport publié par Intercommunalités de France

- rapport Cour des comptes 2023 : la gestion quantitative de l'eau en période de changement climatique

- La grande Conversation : Vers une gestion durable de l'eau

 

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