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Nous avions déjà présenté la façade de notre immeuble (50 rue Richer) à la fin de notre billet sur le roman « La Grande Arche » de Laurence Cossé, en écho à la description que l’auteur donne du 57 rue de Turbigo (qui abrite les locaux d’Une fabrique de la ville). (Signalons au passage le merveilleux court-métrage d’Agnès Varda, « Les dites cariatides », que Guillaume Hébert nous avait alors fait découvrir. Confinement oblige, on aurait d’ailleurs pu penser que les statues… > Lire la suite