“Premières impressions. On dit que chaque ville, chaque pays a son odeur. Paris, dit-on, sent ou sentait le chou aigre. (…) Bruxelles sent le savon noir. (…) Les trottoirs sentent le savon noir. Lavage des façades et des trottoirs, même quand il pleut à flots. (…) Peu de trottoirs, ou extrêmement interrompus (conséquence de la liberté individuelle, poussée à l’extrême”. Charles Baudelaire, Pauvre Belgique !, 1864. Près de 120 ans après cette description, les trottoirs de Bruxelles continuent de faire… > Lire la suite