Le numérique dévore la ville
Cette paraphrase de la formule de Nicolas Colin (“Le numérique dévore le monde”, ici) est le titre de l’intervention que nous avons faite cet après-midi lors de la journée sur les “portes du territoire” organisée par le Laboratoire d’Excellence Dynamiques Territoriales et Spatiales et l’IHEDATE.
Nous y avons montré comment la révolution numérique, alliée à la crise financière et à l’impératif de la ville durable, bouleverse les modes de production traditionnels de la ville et réinterroge le rôle des acteurs publics.
Extraits :
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