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[English below]

Parue d'abord sous format numérique, notre chronique prospective de février dernier sur "Google Maps : et après ?" (article consultable gratuitement en ligne) sort aujourd'hui en version papier dans la revue Futuribles (revue papier, vendue dans les meilleurs kiosques et librairies, et aussi en ligne). Elle bénéficie d'un chapô signé de Stéphanie Debruyne, rédactrice en chef adjointe de la revue, reproduit ci-dessous :

Une précision concernant ma crainte exposée en fin de chronique ("entre mon smartphone qui craint le froid et la difficulté à trouver une carte papier de la ville à acheter (même sur des sites marchands américains en ligne…), je ne sais pas encore bien comment je me repérerai à Montréal en cette fin février") : eh, bien, j'ai acheté une carte au magasin Archambault, 250 rue Jean-Talon Est, à Montréal !! (Et même une carte plastifiée et une carte papier.... laquelle s'est révélée bien utile pour noter à la volée les éléments d'une conversation téléphonique. De l'avantage des cartes papier !). Voir ici notre billet : "Montréal : neige, réchauffement et finances locales".

Pour poursuivre notre exploration cartographique, on pourra lire aussi cette infographie sur la surface allouée à la voiture, ainsi qu'un article sur nos capacités à s'orienter... ou pas, signalés par Alexandre Mussche de VraimentVraiment.

A lire également cet article d'AutrementAutrement sur "Le vélo, la campagne et le quotidien : trouple impossible".

Egalement : cette carte des "rues gratuites ou payantes" (du point du vue du stationnement).

 

Pour mémoire, la prochaine formation Futurs de villes aura lieu les 6 et 7 juin prochain dans les locaux de Futuribles. Pour s'inscrire, c'est ici, et pour venir, vous avez le choix de la carte !

 

English abstract (by Futuribles)

The representation of geographical space has always been a subject of debate and controversy: the perspective or type of projection adopted can lead to great variations in the eventual map obtained. Similarly, how a map is centred to present a particular geographical environment affects which places and resources are highlighted. To these factors we can now add the functionalities offered by various digital platforms and companies, and their ability to outperform the kinds of road-maps/city-plans which the users of public space were formerly used to. What are the factors steering online mapping today, as it comes increasingly to outstrip paper-based mapmaking?

And what do these tell us about the possible development of — and biases in — our representations of space? Will the dominance of the digital giants (in particular, Google) lead to personalized maps keyed to our expressed — or surreptitiously observed — preferences, excluding any shared representations, and even maps shaped largely by commercial considerations?

Isabelle Baraud-Serfaty shows in this column how mapping, which is an instrument of power, is today being revolutionized by new private actors with their digital applications and examines the issues this raises in the medium-to-long term.

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